J’aime cet écran profond du ciel et de la mer mêlés
où s’expriment artistement les jeux de la lumière ;
c’est un émerveillement sans cesse renouvelé,
un support de méditation luxueux,
où l’âme se plait à « s’expanser »
pour rejoindre les lumières du monde intérieur.
Je préfère cet écran immobile et silencieux
à tous ces petits écrans de pixels,
où s’agitent fébrilement les formes humaines.