Au fond de l’hiver
la neige de la nuit,
lumière sur la rue !
J’aime assez ces Haïkus irrévérencieux du grand Kobayashi Issa (1763 – 1827) :
« Ce trou parfait
que je fais en pissant
dans la neige à ma porte«
« Sous le divin nez
du divin Bouddha
pend une morve de glace«
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